De plus en plus d’écoles, collèges et lycées font le choix d'intégrer le développement durable à leur projet pédagogique et agissent concrètement pour réduire leur empreinte écologique. Cette année 748 écoles et établissements scolaires ont valorisé leurs projets grâce à une labellisation Eco-Ecole, un record dans l'histoire du programme !

Pour faciliter la prise de décision et rendre l’engagement des établissements pérenne, le programme Eco-Ecole propose 8 thématiques de travail et invite les participants à :

• Identifier un thème prioritaire chaque année. Il fédère les participants et apporte de la cohérence au projet. L’objectif : éviter l’éparpillement et se donner les moyens d’approfondir un maximum de pistes d’actions sur la thématique choisie.
• Explorer progressivement chacun des thèmes. Année après année, l’établissement explore de nouveaux enjeux du développement durable tout en pérennisant les actions précédemment mises en œuvre. Cela permet de dynamiser le projet et de créer de la continuité dans les projets et les apprentissages.

Chaque année, les établissements engagés dans le programme peuvent demander le label pour le projet qu’ils ont mené :

• Le label est une source de reconnaissance pour tous les participants au projet. Il apporte de la visibilité à l’établissement et aux actions engagées et contribue à maintenir une dynamique dans le projet.
• Le label Eco-Ecole, Eco-Collège, Eco-Lycée est attribué au terme de l’année. Viser le label chaque année permet de motiver les participants. Le label récompense l’engagement et la mobilisation active des écoles et établissements scolaires.
  
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Le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire accueillait le 12 février la 5ème édition des Trophées des campus responsables qui ont récompensé 6 établissements d’enseignement supérieur mettant en œuvre les meilleures pratiques de développement durable sur leur campus. L’année 2018 a vu une multiplication des mouvements étudiants en faveur de l’environnement, à l’image de l’élan collectif  du Manifeste étudiant pour un réveil écologique signé par plus de 26 000 étudiants. Un signe supplémentaire qui démontre que les établissements d’enseignement supérieur, comme les entreprises, sont plus que jamais invités à prendre en compte les enjeux sociaux et environnementaux dans la formation des étudiants et dans l'ensemble de leurs activités. Les Trophées visent à récompenser les établissements d’enseignement supérieur ayant mis en œuvre, au sein de leur campus, des projets de développement durable les plus inspirants. Une attention toute particulière a été apportée aux bénéfices sociétaux des projets ainsi qu’au caractère novateur des démarches.
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Le label E3D a été décerné à quarante-et-un établissements scolaires engagés dans une démarche de développement durable, le 20 juillet, en Nouvelle Calédonie.

Lancée au niveau national en 2013, cette labellisation, qui comprend trois niveaux, vise à soutenir les établissements scolaires dans leur démarche d'éducation au développement durable. « Ce label est d’abord une éducation à la citoyenneté pour préserver notre planète. Il s’inscrit pleinement dans le projet éducatif de la Nouvelle-Calédonie, notamment dans son parcours civique, mais aussi dans les politiques publiques portées par le gouvernement telles que le Schéma pour la transition énergétique ou la préservation du Parc naturel de la mer de Corail », déclare Hélène Iékawé, membre du gouvernement en charge de l'enseignement. Lors de cette nouvelle édition, le gouvernement, le vice-rectorat et les partenaires de l’action ont remis un label E3D à vingt-neuf établissements qui viennent de s’engager et à douze "aguerris" qui entrent dans la phase d’approfondissement...
Lire la suite (source : NC presse 24 juillet -

En Nouvelle Calédonie, le label E3D a été décerné à quarante-et-un établissements scolaires engagés dans une démarche de développement durable. Une cérémonie joyeuse a été organisée en leur honneur le 20 juillet en présence d’Hélène Iékawé, membre du gouvernement en charge de l’enseignement.
Lancée au niveau national en 2013, cette labellisation, qui comprend trois niveaux (lire l’encadré), vise à soutenir les établissements scolaires dans leur démarche d'éducation au développement durable.  « Ce label est d’abord une éducation à la citoyenneté pour préserver notre planète. Il s’inscrit pleinement dans le projet éducatif de la Nouvelle-Calédonie, notamment dans son parcours civique, mais aussi dans les politiques publiques portées par le gouvernement telles que le Schéma pour la transition énergétique ou la préservation du Parc naturel de la mer de Corail », déclare Hélène Iékawé. Lors de cette nouvelle édition, le gouvernement, le vice-rectorat et les partenaires de l’action ont remis un label E3D à vingt-neuf établissements qui viennent de s’engager et à douze "aguerris" qui entrent dans la phase d’approfondissement. Lire la suite
(Source : NC presse - 24 juilet)

Le 13 avril dernier, le lycée Clément Marot, labellisé éco établissement, participait à une journée de sensibilisation au développement durable. Pour cette 11ème édition, les classes de 1ère étaient sur le pont mais également les 6èmes de Gambetta et de Montcuq, et les primaires de Pierre Segala et Jean Calvet.
« Le public extérieur participe à de petits ateliers tenus par les lycéens et les 1ères font un rallye à travers l’établissement avec un questionnaire à remplir. Les meilleurs gagnent des places de cinéma » explique Pascale Lacoste, professeur de mathématiques/sciences de l’équipe organisatrice composée de Stéphanie Vedrenne, documentaliste, François Agel, professeur de SES, Solenn Colas, professeur de mathématiques, Sabine Malmont et Nathalie Gouny, laborantines.
Utilisation d’un vélo pour recharger son téléphone, cabinet de curiosité, diéticienne, apiculteur… le lycée Clément Marot s’était véritablement transformé en magma scientifique. Pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
Pour en savoir plus (source : Medialot - Thobaut Souperbie)

Labellisé E3D (Établissement en démarche de développement durable) depuis 2016, le collège de Kerdurand, à Riantec, a proposé la semaine dernière, seize ateliers de sensibilisation à ses élèves. Depuis 2016, le collège de Kerdurand, à Riantec, a été labellisé E3D (Établissement en démarche de développement durable). Des actions toute l’année
Au restaurant scolaire, le collège a mis en place un éco-broyeur et les commandes utilisent au maximum les circuits courts et des produits issus de l’agriculture biologique. La création d’une galerie d’arts, qui accueille de nombreux artistes, permet aussi une ouverture sur le monde culturel, avec notamment, en ce moment, une exposition sur la pêche, en liaison avec le festival Pêcheurs du monde. La notion de développement durable est également intégrée dans plusieurs cours (anglais, maths, géographie, SVT,…).
Des élèves acteurs
Les collégiens ne sont pas que passifs, et font preuve d’initiatives, avec la création d’un atelier ruches, qui leur permet de faire une récolte de miel, et la création d’un troc’livres. Ils sont aussi à l’origine d’un centre de tri des déchets, installé dans la cour, et un autre de recyclage du papier. « Il y a d’ailleurs un signe qui ne trompe pas, se réjouit Jérôme Girard, principal du collège, c’est une thématique qui est bien présente à l’occasion de chaque conseil de vie des élèves. »
Dix associations locales
Johann Robert, professeur de SVT, a contacté dix associations, ayant chacune des objectifs différents (énergie, écologie, plancton…), qui ont accepté d’intervenir auprès des élèves.
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(Source : Ouest France/Lorient 10 avril 2018)
Crédit photo : Ouest France

Dans le cadre de la semaine du developpement durable, le lycée Guillaume-Budé a accueilli les élèves des établissements engagés du département. Si vous ne savez pas ce qui se cache derrière le fameux « développement durable » mis à toutes les sauces et trop souvent rére duit à une intention, c’est au lycée Guillaume-Budé qu’il faut vous adresser. L’établissement de Limeil-Brévannes a durant toute cette semaine valorisé les actions de développement durable mises en place tout au long de l’année.Ils étaient 42 élèves « éco-délégués » à animer les journées de sensibilisation dédiées non seulement aux 1 800 élèves du lycée mais aussi aux écoliers et collégiens du secteur. Conférences d’experts, démonstration de projets, participation au projet interacadémique pour trouver des solutions à l’Unesco, incitation à une mobilité douce… Lire la suite
Source le Parisien - Marion Kremp (13 avril)

E3D, pour Établissement en Démarche de Développement Durable. Ce label a été décerné à l’école du Centre, à Tournan-en-Brie, par l’académie de Créteil le 16 novembre dernier. Il vise à récompenser l’école pour son engagement dans une démarche environnementale. « Nous avons obtenu le niveau 1, celui de l’engagement », indique la directrice, Isabelle Kamp. Et de se remémorer : « Lorsque j’ai repris la direction il y a sept ans, il y avait une cave remplie d’un tas de vieux livres scolaires et de papiers. Avec des collègues, on a entrepris de nettoyer tout cela. Mais on s’est dit que c’était bête de mettre tout ça à la poubelle ! » C’est ainsi qu’Isabelle Kamp a pris contact avec une association de Servon, Chemin d’Arc-en-Ciel, qui récupère du matériel pour en faire profiter des écoles en Afrique. Très vite, elle constate en plus que l’association rassemble aussi des bâtons de colle, du matériel de géographie cassé, des stylos et des lunettes. Tout cela est ensuite envoyé en recyclage. Et les bénéfices retirés permettent à l’association de réinvestir dans du mobilier et du matériel d’école pour l’Afrique. Cela fait maintenant sept années que ce système fonctionne à Tournan-en-Brie. Et les enfants ont pris de bonnes habitudes. « On met des tas de trucs dans les bacs à recycler, pour ne pas gaspiller », glisse Nathan (7 ans). À ses côtés, Ethan (8 ans), ajoute : « C’est de l’écologie, ça évite la pollution ! » Chaque déchet a donc son bac attitré et les enfants sont sensibilisés par le même biais, en plus de l’aspect humanitaire. « Ils sont très impliqués, ils en parlent beaucoup à la maison et ça motive tout le monde », se réjouit Lévana Deis, maman de deux garçons qui est « fière de cette école avec de très beaux projets. » Une collecte des cartouches d’encre est également en place via l’entreprise nantaise LVL dans le dispositif Enfance et Partage. Avec ses actions, l’école du Centre ambitionne d’atteindre le niveau 2 du label E3D (approfondissement) et pourquoi pas le 3^e et dernier niveau (déploiement).
(Source : actu.fr Pierre Choisnet Le Pays Briard le 13 mars )

« EAThink2015 – manger local, penser global  » est un projet à destination des écoles primaires et secondaires, incluant 12 pays européens et 2 pays africains, financé par l’Union européenne dans l’objectif d’améliorer la compréhension et le sens de l’analyse d’élèves et d’enseignants européens et ainsi faire naître un engagement actif à relever les défis du développement mondial, avec un point d’honneur accordé à la sécurité et à la souveraineté alimentaire, aux systèmes alimentaires durables et aux petites exploitations. L'ensemble du projet EAThink2015 vise à préparer les élèves et les enseignants européens à faire face à leurs responsabilités en tant que citoyens d’une société mondialisée. Plus spécifiquement, les objectifs généraux du projet EAThink2015 sont les suivants:

• Contribuer à accroître la sensibilisation de la jeunesse européenne, et son engagement dans le débat public post-2015 sur la contribution de l’Union européenne en matière de politiques de coopération au développement en faveur du développement durable à l’échelle planétaire.
• Faire naître un engagement actif à relever les défis du développement mondial, avec un point d’honneur accordé à la sécurité et la souveraineté alimentaire, aux systèmes alimentaires durables et aux petites exploitations.

• Plus généralement, le projet vise à renforcer les compétences et les connaissances des enseignants d’écoles primaires et secondaires dans le cadre de l’éducation mondiale à la citoyenneté.

De  nombreux établissements de l'académie de Caen ont participé à ce projt européen et ont permis à des élèves, des enseignants et plus globalement à beaucoup d'acteurs (chefs d'établissement, gestionnaires, agents, parents d'élèves) de découvrir le système alimentaire mondial et ses alternatives. Si le projet est terminé depuis décembre 2017, il continue de vivre par l'intermédiaire de son site et du blog : http://eathink2015.org/fr/

Les établissements scolaires sont invités à renseigner leurs actions d’éducation au développement durable afin d’être labellisés E3D. Le formulaire est ouvert jusqu’au 6 avril 2018 (minuit). La Mission développement durable du Département de l’Essonne peut vous aider dans votre démarche.  Avant de remplir le formulaire, vous pouvez consulter les pages du site de l’académie de versailles sur le développement durable pour plus d’informations sur les enjeux et les objectifs de ce label. Contact : Chrystelle Touzeau - ctouzeau@cd-essonne.fr
Pour remplir le formulaire, cliquer ici

Ecophylle, avec le soutien du Graine Ile-de-France, organise une session de formation d'accompagnateur de démarches de débeloppement durable, les 25 et 26 janvier 2018 à Paris. Cette formation est adaptée aux animateurs, éducateurs, élus, enseignants, chargés de mission... qui s’engagent dans des démarches E3D, Programmes Eco-école, Lycées Eco-responsables, Agendas 21 scolaires … Elle a pour objectifs de :
-Connaître l’historique et les textes officiels des démarches éducatives de développement durable
-Comparer les différentes démarches de développement durable d’une structure scolaire et péri-scolaire
-En maîtriser la méthodologie
-Comprendre le rôle d’un accompagnateur et savoir se positionner
-Savoir mobiliser et sensibiliser les différentes parties prenantes internes et externes à la structure
-Définir son propre plan d’action.

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Le collège Hubert-Reeves a livré, vendredi, trois palettes de livres, soit presque une tonne et demie de papier. Il est labellisé «E3D» (établissement en démarche globale de développement durable). En plus du recyclage habituel du papier ou de l'installation d'un compost en sortie de self cette année, une grande manifestation a permis d'offrir une seconde vie aux anciens manuels. En effet, avec l'opération «Ecogeste», les éditions Belin et Veolia ont proposé à 7.000 collèges métropolitains la collecte gratuite des vieux manuels. Plus précisément, ces entreprises ont souhaité faire de cette collecte un projet citoyen qui place le collège au cœur de la cité par une opération de collecte de vieux papiers. La recette dégagée par la valorisation sera reversée à l'Unicef France. Le collège fleurantin a tenu à y participer. Ainsi, grâce à cette opération écoresponsable de valorisation, une véritable activité pédagogique impliquant les élèves et leurs familles a été menée dans le cadre du parcours citoyen. Les élèves ont appris le circuit de la valorisation et les gestes écoresponsables. Unicef France profitera de la contribution dégagée par la valorisation des anciens manuels. Le collège est labellisé «E3D» pour les actions qu'il mène habituellement : biodiversité et oasis nature, sensibilisation à la gestion des déchets et déchets alimentaires, actions liées au climat scolaire au travers du groupe Reeves (Réflexions d'élèves encourageant le vivre ensemble et la solidarité), actions humanitaires et de solidarité dont, cette année, dans le cadre de l'intergénération, l'accueil au self de personnes isolées du réseau Entour'âge. L'occasion d'illustrer le label «E3D» du collège. Rendez-vous l'an prochain pour une nouvelle collecte. (Sources : la dépêche du Midi 1er décembre 2017).

Depuis 1996, la démarche Fimbacte regroupe les acteurs qui oeuvrent au quotidien pour améliorer le cadre de vie. Chaque année sont remis les Trophées du cadre de vie à l'occasion d'un grand festival. En 2017, le palmarès de la 22ème édition des Trophées a été dévoilé à la Cité de l'architecture et du patrimoine, à Paris, mardi 10 octobre.
Le Conseil départemental de la Côte-d'Or a reçu le Trophée d'Or dans la catégorie Communication (Intérêt général - Responsabilité sociétale de l’entreprise) pour son Agenda 21 des collèges. Cette distinction récompense les actions mises en œuvre par la collectivité dans le cadre de sa démarche globale de sensibilisation et d’éducation au développement durable de l’ensemble de la communauté éducative des 47 collèges. Depuis sa généralisation à l’ensemble des collèges publics en 2013, l’Agenda 21 Scolaire se décline autour d’un volet pédagogique "Education au Développement Durable" axé sur l’éducation des élèves au développement durable (une cinquantaine de projets ont bénéficié à ce titre, de l'accompagnement financier du Conseil départemental dans les collèges participants) et d’un volet "Eco-gestion" portant sur des actions techniques engagées au sein des établissements en vue d’améliorer leur performance environnementale. Ce Trophée récompense l'implication du Conseil départemental de la Côte-d'Or dans sa volonté d'améliorer le cadre de vie de ses collégiens et d'en faire les citoyens éco-responsables de demain. (source Infos Dijon 18/10/2017)

Les classes de première STI2D-EE et STI2Deuro du lycée Jean-Pierre Timbaud à Brétignysur-
Orge (Essonne) participent au projet Greetings from tomorrow ayant bénéficié d’un financement européen via le programme Erasmus qui fête cette année ses 30 ans. C’est un projet de partenariat avec plusieurs lycées européensqui a commencé en septembre 2016 et qui durera jusqu’au 31 août 2018. 5 lycées européens (Roumanie, Bulgarie, Finlande, Italie, et France le coordonnateur du projet) vont travailler ensemble pour donner leur compréhension de l’environnement, sa protection et les moyens mis en place pour le protéger. Après un voyage en Bulgarie autour du sujet sur « l’industrialisation et la pollution », les élèves du lycée Jean-Pierre Timbaud ont reçu en France du 24 au 28 avril, 12 élèves représentants d’autres établissements européens. Les élèves se sont ensuite dirigés vers l’Italie du 16 au 18 mai pour travailler sur le sujet « comment sauver la planète » et préparer le calendrier de l’année scolaire 2017-2018. Pour en savoir plus

Un partenariat francilien pour aider les établissements en démarche d’éducation au développement durable (Région Île-de-France, Académies franciliennes de Créteil, Paris, Versailles, Écophylle et e-graine d’images) a impulsé la réflexion autour d’un programme de formation pour devenir éco-délégués. En effet, suite à la circulaire du Ministère de l’Éducation nationale N°2015-018 de février 2015, de plus en plus d’établissements scolaires mettent en place des comités en interne intégrant des éco-délégués. Les éco-délégués sont les ambassadeurs indispensables des démarches éco-citoyennes amorcées par les établissements scolaires, en lien avec l’ensemble de la communauté scolaire. Et pour les aider dans ces démarches, cette formation en ligne aborde différents thèmes pour aider chacun à réfléchir et se positionner tout en apprenant la gestion de projet. Elle est accompagnée de nombreux témoignages et retours d’expériences dans les 3 académies franciliennes. La formation comporte une entrée pour les adultes et une entrée pour les éco-délégués afin de mieux cibler les besoins de chaque acteur de l’établissement scolaire. Dans chaque entrée se trouve un onglet « Me former » et un onglet « Transmettre », ce qui permet à chacun d’apprendre mais aussi de transmettre ses acquis. Toutes les thématiques exposées  s’appuient sur des vidéos tutoriels* et des documents écrits téléchargeables permettant d’apprendre et de transmettre ses savoirs sur la base d’une pédagogie ludique et active. Pour valider toutes ces connaissances, un petit quizz est ouvert à chaque étape franchie et donne gage de réussite. Ce questionnaire est accessible en ligne, après s’être inscrit sur la plateforme. RDV sur www.eco-delegues.fr pour suivre cette formation

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Le 4 juillet à l'Oustal de Rampoux-Lavercantière, en préambule de la fête des écoles du RPI Dégagnac- Lavercantière – Thédirac, Céline Joachim, enseignante de CE1-CE2 à Lavercantière a présenté la démarche «labellisation E3D» en présence des maires et conseillers municipaux des communes concernées, de mesdames Fachada et Baldy employées de mairie rattachées aux cantines scolaires, de Frédéric Gineste coordonnateur des TAP des trois écoles, de M.Pastor IEN de la circonscription de Gourdon, de Mme Bonnet animatrice science du département, de M.Vilatte technicien ENS du département, de Mme Dusseau référente parents, Maryse LLeda référente mairies, et de nombreuses familles d'élèves du RPI. Céline a expliqué la labellisation E3D (éducation au développement durable) grand enjeu national de formation des jeunes citoyens au développement durable dans son environnement scolaire et familial. La labellisation comporte 3 niveaux et le RPI qui vient d'atteindre le 1er compte approfondir sa démarche pour les années à venir. Un bilan de la démarche sera fait deux fois par an lors de conseils d'école. Le projet sera valorisé par les élèves au niveau de la communication et tous les partenaires seront associés à la démarche. Pour l'année 2017-2018, l'axe choisi par les enseignantes est l'eau qui sera décliné à tous les niveaux : milieux humides, cycle de l'eau dans la nature, cycle de l'eau domestique, utilisations, pollution et traitements, économies de l'eau, accès à l'eau potable dans le monde… Les élèves et leur famille continueront la récupération des bouchons au profit de l'association «plus de bouchons plus d'amour» en aide aux personnes handicapées. Plusieurs très beaux visuels ont d'ailleurs été réalisés par les élèves pour illustrer leur démarche. Globalement, la démarche E3D implique les élèves, les enseignants, les personnels, les mairies et les parents!
(Source : La dépêche du Midi - 11 juillet - pour en savoir plus)

Il y a quelques années, la ville de Mouans-Sartoux a développé sa propre régie agricole, d'une taille de 4 hectares. L’agriculteur, employé par la mairie, gère l’ensemble de l’exploitation qui produit chaque année 20 tonnes de légumes certifiés bios. Ce grand jardin potager permet d’alimenter 80 % des légumes utilisés par les cantines de la ville. La régie a un fonctionnement de maraichage classique et produit une grande variété de légumes de saison. Les terres municipales sont elles aussi un outil pédagogique important, car les enfants viennent très régulièrement dans le jardin de la ville pour aider à planter, à récolter et surtout pour voir d’où viennent les aliments. Depuis 2010, le personnel de restauration pèse chaque jour les restes récupérés dans les assiettes. Il y a quelques années, nous avions 147 grammes de déchets par repas, alors qu’aujourd’hui nous avons réduit à 30 grammes. Les cantines de Mouans-Sartoux insistent sur la juste quantité et l’envie des enfants en leur proposant, par exemple, différentes assiettes avec plusieurs tailles de portions.
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En 2016, le lycée professionnel Bernard-Chochoy s’est inscrit dans la démarche E3D – traduisez par établissement en démarche globale de développement durable – faisant ainsi partie des neuf établissements de la région Hauts-de-France à avoir été retenu. Catherine Delbart, professeur de prévention, santé et environnement a décidé de monter une action dans le cadre des aides individualisées, avec l’aide de Juliette Magnier, documentaliste. Les élèves ont fabriqué des boîtes déposées dans les écoles, en mairie et chez les commerçants pour récupérer feutres, crayons, surligneurs et correcteurs. Au total, plus de vingt kilos de matériel ont été récoltés tout au long de l’année. Grâce au programme « Terracycle », la récolte est ainsi revendue et recyclée. La somme récoltée est allée à l’association des Clowns de l’espoir, dont le but est d’aider à améliorer la qualité du séjour des enfants hospitalisés. L’établissement souhaite poursuivre la labellisation E3D en passant au deuxième niveau : l’approfondissement. En lien avec la Communauté de communes du pays de Lumbres, la municipalité et l’association des arts créatifs, les élèves de bac pro technicien-constructeur bois vont se lancer dès la rentrée dans un projet à destination du festival d’Art Singulier qui se tiendra en octobre. Son nom : projet Mammouth. Pour le mener à bien, un appel est lancé afin de récolter des pelotes de laines, de préférence fines ou moyennes et de couleur vive. Elles sont à déposer en mairie.
(Source : la Voix du Nord, FW publié le 6/07/2017)

Jusqu'ici réservé aux écoles primaires et élémentaires, collèges et lycées, les écoles maternelles ont désormais la possibilité de participer au programme Eco-Ecole, répondant ainsi à une demande croissante de la part des enseignants. Une étude auprès de trois écoles pilotes franciliennes est actuellement en cours de finalisation pour compléter les outils et les adapter aux élèves de 3 à 6 ans. Ces éléments seront disponibles dès la rentrée scolaire prochaine. S'inscrire au programme

De plus en plus d'établissements scolaires font le choix d'intégrer le développement durable à leur projet pédagogique et agissent pour réduire leur empreinte écologique.
Cette année les labellisés Eco-Ecole, programme coordonné par Teragir,  sont 20% de plus qu'en 2016, autant d'établissements atteindre les Objectifs de Développement Durable définis par l'Organisation des Nations Unies.
Plus de 2400 établissements en démarche Eco-Ecole, dont 600 labellisés, quelle est la différence ? T
ous les établissements scolaires en démarche Eco-Ecole bénéficient de l'accompagnement gratuit de l'équipe Teragir, jusqu'à l'obtention du label s'ils le souhaitent.
Le label est volontaire, à la demande des établissements.  Leur dossier est étudié par un jury d'experts. C'est pour les établissements une étape supplémentaire qui leur permet de valoriser leur projet de l'année.
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